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Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité.

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Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. Empty
MessageSujet: Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. EmptyMar 7 Jan - 22:49




NOAH EVERSON

Un jour on se réveille, et contre toute attente, l’espoir renaît, et avec un peu de chance on se rend compte, en affrontant les événements, en affrontant la vie, que le véritable rêve, c’est d’être encore capable de rêver.

SON PTIT SURNOM   ♗  Nono mais il y a que ces frères et soeurs qui peuvent l'appeler ainsi et pourtant il déteste ça. Néanmoins, ils ne lui laissent pas le choix.   SON ÂGE  ♗   Trente et un an.  SON ORIENTATION SEXUELLE ♗   hétérosexuel. SON STATUT CIVIL  ♗   Célibataire. Il n'a jamais réussit à garder une fille de toute manière. Son boulot passe avant tout, ainsi que sa famille alors évidemment, ce n'est pas facile d'être en couple avec lui.  SA NATIONALITÉ  ♗   Anglaise  SON CARACTÈRE  ♗   Noah est quelqu'un d'intègre, de juste et de plutôt franc. Il est néanmoins cynique et est souvent sarcastique, ce qui n'est pas toujours supportable pour son entourage. Il est assez souvent sûre de lui même si certaines situations peuvent le rendre hésitant. C'est également quelqu'un de très ambitieux. SA PROFESSION  ♗  Lieutenant de police.  


Son boulot est très important pour lui. Il croit dur comme fer à ce qu'il fait. Il veut débarrasser le monde de toutes les personnes mauvaises. Il ne supporte pas l'idée qu'un coupable puisse s'en tirer.  ♗  Sa famille est très importante pour lui. Il a beau les trouver étouffant, ne pas supporter l'idée qu'ils se mêlent tous de tout mais il les aime tous terriblement.  ♗ Il croit en Dieu mais n'est pas nécessaire pratiquant. ♗ Il a travaillé dur pour devenir lieutenant de police et il est prêt à tout pour aller encore plus haut. ♗ Il fume beaucoup. ♗ Il a un tatouage sur l'épaule gauche, il s'agit de la date de mort de sa mère.


L'enfance est indigente, chimérique, indéchiffrable. Elle est un mystère simple et respectable. Elle est à l'image du grain qui éclate. Elle est violente.  

"MAMAAAAN" Traversant le couloir de notre grande maison à toute allure, je cherchais la présence de ma mère le plus rapidement possible, voulant à tout prix éviter ma grande soeur qui me courait après depuis plusieurs secondes, prête à me faire quelque chose que je risquais fortement de regretter. Dans le fond, je méritais sans doute la sentence qu'elle voulait m'infliger. Je lui avais pris ce jouet qu'elle aimait tant, celui qu'elle préférait pour être exact et je l'avais tout simplement cassé. Ce n'était bien sûr pas voulu. Malgré que le fait d'embêter ma soeur aînée était un de mes passe-temps favoris, je ne l'avais réellement pas fait exprès cette fois. Elie était âgée de neuf ans, elle avait quatre ans de plus que moi et je savais pertinemment que si elle m'attrapait, j'allais passer un très mauvais quart d'heure ! La seule solution : ma mère. Elle était la seule qui arrivait toujours à apaiser les conflits entre nous. Sans doute parce que c'était la meilleure des mamans. Je ne dis pas cela parce que c'est la mienne, mais juste parce que c'est la vérité. Elle était une femme magnifique, magique même. Je crois que c'est pour ça que mon père l'aimait autant. Oh, il ne lui disait pas souvent. En plusieurs années d'existence, six ans pour être exact, je ne me souviens pas avoir entendue une seule fois mon père lui dire à quel point il était fou d'elle. Mon père était un homme tellement orgueilleux. Dire ses sentiments ça aurait été comme se mettre nu devant ma mère ou devant nous. Il préférait se taire. Nous nous étions habitués. Je crois que ma mère aussi. Néanmoins, il suffisait de les regarder pour savoir à quel point ils s'aimaient tous les deux. Une évidence dans le fond. Ma mère était la femme la plus géniale du monde. Je crois même qu'elle aurait pu arrêter n'importe quelle guerre si elle avait été présidente. Sa diplomatie et son amour des autres, la rendait tellement humaine. "Chut. Ton petit frère dort Noah. Ne crie pas comme ça." Je me suis arrêté net devant ma mère. Qu'est ce qu'elle était belle. Dans l'ouverture de la porte de Luke qui faisait une sieste, les sourcils légèrement froncés, elle était presque en colère contre moi mais je ne m'étais jamais sentie aussi en sécurité qu'à ce moment précis. "Maman, il me saoule ! Il a cassé mon jeu vidéo, je vais le tuer." Oups, Elie était arrivée plus vite que prévue et je n'avais pas eu le temps d'expliquer ma version des faits. "On se calme tous les deux." Nous n'avons pas eu le temps de rajouter quoi que ce soit, que ma mère avait déjà prit la parole. Et comme d'habitude, elle trouvait parfaitement les mots. Ceux qui allaient nous apaiser. "Noah va dans ta chambre et toi Elie, va voir ta petite soeur, elle a besoin d'aide pour son dessin." Elie et Emma avaient toujours été extrêmement proches, du moins à cette époque. Je crois qu'Elie prenait un peu trop son rôle de grande soeur à coeur et c'était encore plus fort avec Emma. Peut être parce que c'était une fille, ou peut être parce qu'elle était plus jeune que moi mais pas aussi petite que Luke. Je n'en sais rien. Ma mère nous a regardé partir et je crois pouvoir dire qu'elle a sourit. Elle nous aimait tellement. Et nous aussi nous l'aimions. Elle savait toujours nous montrer à quel point elle était heureuse de nous avoir tous les quatre. Nous étions ses trésors, c'est ce qu'elle disait toujours. Et elle était le notre...

Parfois dans la vie, il y a des événements inexplicables. Des moments qu'on n'avaient même pas imaginé. Des choses qui se passent souvent en quelques minutes à peine et qui marquent votre vie à jamais. Je me souviendrais toujours de la voix de mon père ce jour là, quand du bas de l'escalier, il nous a demandé de descendre. Tous ! Nous devions tous nous rendre en bas. Je me souviens tellement de ce moment, de cette journée entière. Il était 18h. Elie était la première à descendre l'escalier ce jour là. De toute manière, elle était toujours la première à obéir. C'était la plus sage de la famille, surtout quand mon père lui demandait quelque chose. Elle était suivie par Emma alors âgée de huit ans, puis de Luke qui venait tout juste d'avoir six ans. J'étais le dernier. Un peu en retard, car je me souviens que mon père, de sa grosse voix m'avait demandé de me dépêcher. Quand je suis enfin arrivé en bas, j'ai rejoint mon frère et mes soeurs sur le canapé. Mon père se tenait debout face à nous. Son air était différent...Tellement dur et triste à la fois. Mon père avait toujours eu cette façon, presque brutale de nous regarder, comme s'il voulait nous faire comprendre que nous devions pas le décevoir mais cette fois, c'était encore pire. Est ce que l'un de nous avait fait une bêtise ?! C'était la seule explication à laquelle je pensais à cet instant précis. Pourtant, c'était bien pire que ça..."Papa qu'est ce qui se passe ?" En bonne aînée de la famille, Elie avait prit la parole la première. Nous venions de voir une larme couler sur la joue de notre père. C'était une première ! Cette fois, nous étions réellement inquiet. Même Luke avait cessé de bouger. "Votre mère ne reviendra pas les enfants." Il avait jeté cela sur un ton froid, c'était comme si il lui en voulait, comme si elle avait juste décidé de le quitter. Or, en réalité, c'étai bien pire que ça. "Pourquoi ?" Elie était sans doute la seule, encore capable de parler. Elle avait posé la question, sourcils froncés, espérant sans doute que la réponse serait satisfaisante. Comme si il existait une bonne raison. Notre mère était toute notre vie. En tout cas, c'était la mienne ! "Elle est morte Elie." Il s'était adressé à elle. Seulement à elle. Aujourd'hui, je me dis que ça a vraiment dû être horrible pour elle, d'entendre cela alors que mon père l'a regardait droit dans les yeux. "J'veux voir maman moi." La voix de Luke venait de résonner dans la maison. C'était la seule chose qui avait brisé le silence qui venait de s'installer. Elie pleurait. Moi, je ne faisais rien. J'observais mon père, sans bouger et sans parler. J'avais juste envie qu'il dise quelque chose, qu'il parle, qu'il nous explique. Je voulais seulement que mon père trouve les mots qui apaiseraient notre souffrance. Mais il n'a pas su les trouver. Il ne les aura jamais trouvé d'ailleurs. "Pourquoi elle est morte ?" D'une voix tremblante, son visage plein de larmes, Emma avait dû trouver la force de poser cette question si terrible. Je me souviens m'être retournée vers elle à ce moment précis. Emma avait toujours été une enfant joyeuse, sûre d'elle et déterminée. Elle ne pleurait jamais. Parfois, j'avais même l'impression qu'elle était déjà bien trop mature pour son âge. Cette fois, elle se ressemblait vraiment à une petite fille. Malheureusement, au regard des explications de mon père sur la mort de notre mère, il était fort à parier que nous allions tous grandir plus vite que prévue. On l'avait tué, juste parce qu'elle n'avait pas voulu donner son sac à un pauvre mec. Je crois que c'est ce jour là, que j'ai su que je deviendrais agent de police. Je n'avais plus qu'une seule obsession à présent, faire en sorte qu'aucune famille n'est à vivre ce que nous vivions à cet instant précis. Elie s'est levée. Elle a quitté la pièce, malgré que mon père lui ait demandé de rester et ce qui s'est passé par la suite, je suis incapable de m'en souvenir.

C’que je veux dire c’est que la famille c’est inévitable, c’est comme les impôts ou la mort. 

"Salut". Je traversais tranquillement ce commissariat dans lequel je bossais depuis plusieurs années maintenant quand j'ai soudain entendue une voix que je connaissais bien, trop bien ! Pour être tout à fait exact j'entendais cette petite voix depuis l'âge de trois quatre ans je dirais, depuis qu'Emma avait été en âge de parler. Je me suis arrêté net, poussant un long et grand soupir avant de finalement me retourner vers elle, levant les yeux au ciel. Les hommes, c'est à dire mes collègues ou simplement mes employés; car en effet, j'étais devenue lieutenant de police après avoir bossé comme un dingue pour en arriver là; regardaient ma soeur avec ce sourire que je connaissais par coeur. Emma était une belle femme, terriblement belle et sexy même. D'ailleurs, elle le savait pertinemment et en jouait avec une très grande aisance et facilité. Je détestais qu'elle vienne à mon boulot. Premièrement parce que j'y travaillais et que je n'avais pas du tout le temps de m'arrêter discuter avec elle, le taux de criminalité en ville avait beaucoup augmenté ces derniers temps et deuxièmement, je détestais que mes collègues la regarde de cette façon. J'ai jeté un regard assez noir à deux d'entre eux avant de reposer les yeux sur ma petite soeur. Je n'étais pas le genre de mec, grand frère protecteur, ou du moins je ne voulais pas être ce genre. Mais, nous avions vécu sans mère, avec un père incapable de dire ce qu'il ressentait vraiment. Nous nous étions donc serrer les coudes et nous avions pris cette habitude, totalement agaçante à bien y réfléchir, de s'occuper de la vie des uns et des autres. C'était sûrement notre façon de prendre soin de nous mais c'était parfois très insupportable ! "Tu t'es faite cambriolée ? Agressée ?" ais je demandé à ma soeur de manière totalement ironique. "Non pourquoi ?" J'ai attrapé son bras pour l'attirer vers mon bureau. Elle était là, en plein milieu de mon lieu de travail et les hommes commençaient légèrement à ne plus tenir en place. Je l'ai poussé à l'intérieur de mon bureau et j'ai fermé la porte de celle-ci. "Qu'est ce que tu fais là alors ?" Emma, ainsi que Luke avaient du mal à comprendre que mon lieu de travail, n'était pas un moulin où ils pouvaient débarquer sans prévenir, juste parce qu'ils avaient envie de discuter. Elie, elle le faisait moins. Elle n'avait sûrement pas le temps. Son mariage capotait, elle était la plus grande avocate de la ville, j'étais au moins tranquille dans la journée. Cependant, croyez moi, elle se rattrapait toujours le soir. Elie, avait ce besoin à la fois incroyable et détestable, de nous appeler tous les soirs ou pire de nous réunir ! "Je suis venue te dire que ce soir on doit tous aller dîner chez papa, il veut tous nous voir." J'ai poussé un soupir, levant les yeux au ciel, avant de me diriger derrière mon bureau pour m’asseoir sur mon fauteuil. "C'est l'idée de papa ou d'Elie ?" Elle a sourit, hochant doucement la tête. J'avais compris, elle n'avait pas besoin d'en rajouter. Depuis la mort de notre mère, Elie se sentait obligée de devenir notre deuxième mère. C'était courageux, beau et fraternel mais c'était surtout épuisant. C'est surtout pour Luke que ça devait être assez horrible car avec lui, nous étions tous comme ça. Même Emma, qui laisse pourtant toujours paraître qu'elle se fiche de tout et de tout le monde. Elle avait beau dire ce qu'elle voulait, son petit frère c'était toute sa vie. "Lieutenant Everson, j'écoute ?" Le téléphone de mon bureau venait de sonner et ma réponse a eu pour effet de faire sourire Emma. Décidément, un rien la mettait en joie.  J'avais toujours beaucoup de mal à comprendre Emma. Je crois qu'elle était celle qui était la plus différente de moi. Elie me ressemblait par certains côtés, Luke pas vraiment mais nous avions au moins certains goûts en commun mais avec Emma c'était assez incroyable. Elle était comme un extraterrestre dans cette famille. Peut être que dans le fond, elle était celle qui ressemblait le plus à mère. En tout cas, elle m'impressionnait beaucoup. Elle représentait la folie, la joie de vivre, tout ce que je ne serais jamais en fait. Je ne lui disais pas, mais elle était une sorte de rayon de soleil pour moi. "Luke ?" C'était quoi cette manie, qu'ils avaient tous de m'empêcher de respirer. Oui croyez moi, parfois, c'était vraiment la sensation que donnait cette famille. Entre mon travail et ma famille, je n'avais décidément pas le temps de faire autre chose. Je ne rencontrerais sans doute jamais personne, c'était une évidence. "Met le haut parleur." Encore une manie familiale. Emma avait dit cela tout bas et je n'avais même pas été étonnée et comme d'habitude, j'avais accepté, levant légèrement les yeux au ciel tout de même. Emma s'était assise en face de moi, un sourire aux lèvres, pressée de savoir ce qu'il dirait. "Je suis dans la merde Noah." J'ai soupiré. Luke avait cette manie de toujours se mettre dans la merde. Il était parfois le plus difficile à gérer. Elie lui faisait d'ailleurs souvent la morale, ce qu'il supportait de moins en moins. "Je suis flic pas psychiatre." Je ne sais pas pourquoi mais mes frères et soeurs avaient cette manie de me confier tout ce qui se passait dans leur vie et parfois, c'était vraiment pénible. "Couvre moi auprès de papa ce soir. Je ne peux pas venir et j'ai pas osé le dire  à Elie. Dis lui que j'ai un rendez vous pour...Du travail." J'ai laissé échapper un léger rire. "La vrai raison c'est quoi ?" Il a fait une courte pause avant de reprendre la parole. "Euh..un rencard." J'étais surpris. Enfin je me doutais que mon frère avait une vie sexuelle, surtout qu'il était plutôt beau gosse mais pour une raison étrange, je l'avais rarement vue avec une femme. Néanmoins, je comprenais qu'il préfère être prudent et ne pas nous présenter une femme. Notre famille peut clairement faire peur. "Tu démerde je te couvre pas." Non pas que je ne voulais pas mais je ne comptais pas avoir des ennuis avec notre père ou pire avec Elie. "Je te couvre moi si tu veux." J'ai jeté un regard tueur à Emma. Elle n'était pas censée entendre cette conversation. "Emma ? Pourquoi Emma est là ?" J'ai souri ironiquement. "C'est une bonne question !" ais je dis en la regardant dans les yeux. Elle n'a pas relevé, elle était beaucoup trop concentré sur Luke. "Je te couvre si tu me dis qui est ton rencard ?" "Vas te faire foutre, je parlais à Noah, j'ai pas donné une conférence. Bye !" Luke a raccroché et Emma s'est mise à rire. Quand je vous dis que tout la fait toujours rire. C'est agréable dans le fond. J'ai d'ailleurs souri intérieurement moi aussi. Emma avait bien fait de passer, elle m'avait finalement redonner le sourire. "Viens ce soir Noah. Je t'aime." Elle m'a embrassé sur la joue et elle est repartie aussi vite qu'elle était arrivée. Elle était parfaite en fait. Luke aussi l'était. J'avais cette chance incroyable d'avoir une famille en or mais malheureusement, je l'oubliais souvent. Mon boulot était beaucoup trop prenant et ça n'allait pas aller en s'améliorant.

Elle était un point de repère fixe dans un monde étourdissant. Jamais j’ai pu l’oublier... Jamais. 

"Félicitation !!" J'avais à peine passé la porte de mon bureau, que j'étais déjà assaillie d'applaudissements et de "félicitation". Le pire dans tout ça, c'est que je ne voyais vraiment pas ce qu'ils pouvaient bien fêter. Je venais de passer les pires heures, jours, voire semaines de toute ma vie et eux, mes collègues, mes employés, ils me félicitaient ?! C'est alors que mon cher chef, que je n'avais pas du tout envie de voir à cet instant précis, s'est approché de moi, me tendant la main pour que je la lui serre. "Félicitation Lieutenant Everson, grâce à la solidité de votre enquête, la veuve noire vient d'être envoyée en prison." J'ai cru que mon coeur allait explosé. Je le regardais, totalement incapable de lui serrer la main. J'avais juste envie de vomir ou de lui casser la gueule, ça aurait été plutôt cool ça aussi. Depuis le début de cette enquête, depuis cette première fois où je l'ai vu dans mon bureau, cette femme si...Il n'y a pas de mots pour parler de sa beauté. Certes, c'était une femme magnifiquement belle mais c'était autre chose qui m'avait touché chez elle. C'était cette lueur d'espoir qu'elle avait dans les yeux. L'espoir que le cauchemar qu'elle était en train de vivre prendrait fin un jour. Elle n'avait pas tué son mari. J'en étais persuadé, même si tout le monde était absolument convaincue du contraire. Et quand je dis tout le monde, je ne parle pas seulement des hommes de justice. Non ! Même ma famille le pensait. Même Emma, j'aurais pourtant cru qu'elle verrait les choses autrement. Certes, elle se disait que Robinson avait eu raison de le tuer mais dans tous les cas, elle la pensait coupable. Peut être que je m'étais trompé finalement. Je me l'étais souvent dit au cours de l'enquête. Et puis, à chaque fois, je restais sur ma position. Cette fille était innocente. Aujourd'hui, dans ce procès qui venait de se terminer et de la juger coupable, nous venions de mettre une innocente en prison et je participais à cette erreur monumentale que venait de faire la justice. J'avais été tout simplement forcé d'y participer. Mon chef avait refusé que je lâche l'affaire quand j'ai finalement compris que je ne trouverais pas de preuves suffisantes pour l'innocenter. J'ai cherché pourtant. J'ai bossé comme un dingue, jour et nuit sans rien trouver. Rien qui la mettrait hors cause en tout cas. J'ai donc voulu abandonner l'affaire. Je n'avais pas l'intention de remettre un dossier presque vide au procureur mais finalement je n'avais pas eu le choix. Mon chef me l'avait bien fait comprendre. J'étais lieutenant de police, je devais m'en tenir aux preuves; peu présentes dans ce dossier; et mettre de côté mon intuition. C'est ce qu'il avait finit par me dire quand j'avais été lui dire qu'elle était innocente, que nous nous trompions ! Certes, je n'avais pas de preuves, je le savais c'est tout. Et s'il y a bien une chose que ma mère m'ait apprit avant de mourir, c'est qu'on doit toujours faire conscience à son instinct. "Merci mais je ne suis toujours pas convaincue de son innocence." Mon chef m'a lancé un regard des plus noirs. Certes, ce n'était pas nécessairement le moment de dire une chose pareille. Mon cooéquipier m'a regardé déçu que je n'aille toujours pas changer d'avis, j'imagine. "Les jurés ont décidés..." "Avec tout le respect que je vous dois Mr, les jurés sont des gens lambda, qui lisent la presse à scandale et qui ont vue en cette femme, un monstre froid et sans coeur. Ce n'est pas ce que j'ai vu. La justice à tranché, je ne reviens pas dessus. J'ai juste pas tellement envie de fêter ça, chef !" Je crois qu'il n'a pas apprécié mes explications. Néanmoins, il a accepté de me laisser tranquille et à demander à tout le monde de sortir. La fin de cette soirée a été tout aussi épouvantable. J'ai passé mon temps à penser à elle, à cette fille. Mon père m'a téléphoné pour me féliciter et mes frères et soeurs se sont succèdes. Avec eux, je ne suis pas rentrée dans les détails. Mon père avait suivit cette affaire et il était très fière de moi, je crois que je n'avais juste pas très envie de le décevoir. Il me faisait tellement rarement des compliments. Je n'ai pas pu dormir cette nuit là. J'ai tourné en rond, j'ai fais les cents pas... Je ne pouvais cesser de penser à cette fille, à cette Jasmine. Elle était si...J'étais persuadé d'une chose, la prison allait la détruire. La prison détruit tout le monde mais imaginez que vous soyez innocent ! C'est sans doute pour cette raison que j'ai décidé de lui écrire une lettre. J'étais loin d'imaginer que celle-ci serait le début d'une longue série.

Chère Mme Robinson,

Je devrais peut être vous appelez Jasmine. Ou peut être Jazz même si c'est encore plus intime, je crois savoir que vous aimez que les gens vous appelle ainsi. Je sais pertinemment que lorsque vous verrez mon nom sur l'enveloppe de cette lettre, vous n'aurez plus envie de la lire. Vous devez certainement penser que je suis cette personne de pouvoir, menteuse et autoritaire qui vient de vous envoyer en prison. Or, je ne le suis pas. Je vous en conjure, il n'y a rien de pire que d'imaginer que je suis le responsable de tout cela. J'ai tenté par tous les moyens de vous innocenter. Je vous ai cru dés la première minute. Dés notre première conversation. J'ignore comment, je vais pouvoir continuer une enquête que tout le monde a décidé de boucler mais je vous assure que je ferais tout ce qui est dans mon pouvoir pour vous sortir d'ici. Vous ne ferez pas trente ans, vous avez ma parole. En attendant, je vous pris de garder cet espoir, croyez en vous, croyez en moi. Votre innocence je la prouverais au monde entier même si je dois y passer ma vie. Ma mère a été tué quand j'avais dix ans. Je ne me souviens pas très bien d'elle mais vous lui ressemblez. Elle croyait tellement en la bonté des gens, en leur humanité. Ce soir, dans votre cellule, vous devez être en train de perdre toute la foi que vous aviez en l'humain. Ces douze personnes qui viennent de vous condamnez, il ne faut pas leur en vouloir. Ils ne sont que des pantins dans un monde où tout le monde cherche à devenir un héros. Ils n'ont pas vu ce que j'ai vu. Ils sont aveugles. Ils lisent les journaux et ils cherchent de quoi ils vont pouvoir parler toute la journée au bureau. Vous êtes un super sujet de conversation. Mais je vous en pris, ne les détestez pas. Ne détestez pas le monde autour de vous. Car si vous le faites, si vous les détestez tous, vous allez perdre votre humanité. Et en prison vous avez besoin de ça pour rester la même. C'est ce qui vous apportera l'espoir. En attendant que je vous sorte d'ici.
Je vous présente mes plus grandes excuses de ne pas avoir su trouver les preuves qui vous auraient permis de rester dehors. Un jour, j'espère que nous pourrons prendre un café tous les deux ou autre chose et que vous me direz que vous avez enfin réussi à me pardonner.


Noah Everson.  

Le plus remarquable, c’est que le comportement amoureux soit si semblable à celui de la folie. 

Il s'agissait simplement de lettres. Qu'est ce que c'est une lettre ?! Un bout de papier ? Une feuille blanche avec de l'encre dessus ? Les lettres sont démodées, maintenant il y a les textos, c'est exactement la même chose non ?! Pourtant, il n'y a rien de plus beau et de plus intime qu'une lettre. Il y a des choses qui peuvent être livrées dans une lettre qui ne le seront jamais avec un simple texto. D'abord, on voit l'écriture de la personne. Est ce qu'elle fait de belles lettres ? Est ce qu'on reconnait facilement ces "m" ou encore ces "n" ? Est ce qu'elle met des points sur ces "i" ou des petits ronds ? Ensuite, on voit la couleur que choisit l'écrivain et dans ces moments là, on peut se demander pourquoi il a choisit du rouge et pas du bleu ou du noir ou pourquoi pas du vert. Dans une lettre, on peut tout livrer, absolument tout. On sait que lorsque la personne recevera cette lettre, on ne sera pas à côté d'elle. Il est plus facile d'être loin, quand on appréhende la réaction de quelqu'un. La première fois que j'ai envoyé une lettre à Jazz Robinson, j'étais loin d'imaginer qu'elle me répondrait. Je pensais que cette lettre allait la blesser, l'énerver ou encore la rendre encore plus triste qu'elle ne devait l'être. Or, elle m'a répondu. Et dans chacun de ses mots, j'apprenais à la connaître. Pendant deux ans on s'est écrit toutes les semaines. Nous parlions de tout. De ce qu'elle vivait bien sûr, en prison, depuis la mort de son mari. Néanmoins, nous parlions aussi de la vie. De ce qu'elle apportait, de ce qu'elle reprenait. J'avais appris à connaître son film préféré, sa chanson préféré ou encore ses plus petites envies de nourriture. On se disait absolument tout. Je lui parlais de mes enquêtes. De la difficulté d'être flic aujourd'hui, dans ce monde qui est de pire en pire. Je lui avais raconté ma peur de voir les gens devenir des monstres sans coeur. Nous avions perdu plusieurs personnes ces dernières semaines, c'était monstrueux et c'était terrifiant. Je lui avais aussi parlé de mon frère et de mes soeurs. De manière assez rapide. Je n'avais pas raconté leur vie, j'avais juste dis à quel point je les aimais tout, à leur manière. Jazz était devenue ma meilleure amie. Je souriais de certaines tournures de phrases, je versais une larme parfois. Je n'allais pas lui rendre visite en prison, ça aurait été mal vue de la part d'un lieutenant de police mais je rêvais chaque soirs en me couchant que j'étais à ses côtés. Elle était presque devenue une obsession. Je ne désirais qu'une seule chose, être avec elle, être auprès d'elle. Il fallait que je la sorte d'ici. Cela faisait deux ans, c'était beaucoup trop pour une innocente. Et puis un jour, il y a eu cette lettre...Celle où elle me disait qu'elle allait faire appel, repasser en jugement. C'est là que j'ai eu une idée.

"Noah ?" Campé devant la porte de son grand, voire géant, bureau, je regardais ma soeur droit dans les yeux, avant de décider d'entrer et de fermer la porte derrière moi. J'avais passé sa secrétaire, sans lui laisser le choix et j'étais bien décidé à ne laisser personne me faire sortir d'ici. "Je suis désolée madame, je lui ai dis que vous ne vouliez pas être dérangé mais il a insisté et..." "Tout va bien Alia, je m'en occupe." a t elle répondue, un léger sourire sur les lèvres, tout en la regardant sortir de son bureau. Elle s'est alors tournée vers moi, l'air nettement moins agréable et a froncé les sourcils. "Ce genre d'entrées fracassantes ressemblent plus à Luke ou encore Emma qu'à toi." Elle n'avait pas tord sur ce point. Elie et moi, avions un métier assez semblables. Nous nous respections ainsi que notre espace privé, c'est à dire notre lieu de travail. Ce n'était pas vraiment le cas de Luke ou d'Emma. "Ca fait trois fois en deux heures que ta secrétaire me met en attente Elie. Et si y a avait une urgence ?!" Elle a de nouveau froncé les sourcils, me regardant l'air toujours aussi surprise. "J'ai une tonne de boulot cet après midi mais j'aurais pris une pause d'ici deux heures, j'aurais vu l'urgence dans deux heures. Bref, qu'est ce qui se passe ? C'est quoi l'urgence ?" Je me suis raclé doucement la gorge. Pour être tout à fait franc, il n'y avait pas d'urgence. J'étais juste devenue totalement obsessionnel, du moins ça en avait tout l'air. J'étais légèrement gêné et elle pouvait le voir. Elie me connaissait par coeur. J'ai doucement passé une main dans mes cheveux puis je me suis approché de son bureau. J'ai alors posé un dossier sur celui-ci. Le dossier s'intitulait "Jasmine Robinson." Elle m'a regardé l'air toujours aussi surpris. "C'est qui Jasmine Robinson ? Ta nouvelle copine ?" J'ai soupiré, levant les yeux au ciel, je n'avais pas envie de rigoler. Et puis, je n'aimais pas trop le terme "copine" pour parler de Jazz. "La veuve noire." Cette fois, Elie n'était plus du tout surprise ou plutôt, elle rêvait d'en savoir plus. "Elle va demander un appel. Je veux qu'elle sorte de prison et je sais que si c'est toi qui la représente elle sortira. Tu es la meilleure avocate de ce pays et tu n'as jamais rien perdue alors s'il te plais défends là." Voilà c'était dit. Je détestais l'idée de devoir demander un service à ma soeur, surement parce que j'étais beaucoup trop orgueilleux mais pourtant, j'avais terriblement besoin d'elle cette fois et je n'avais jamais eu autant envie qu'elle m'aide. "Attends..." Elle a passé la main sur son visage comme si elle avait mal à la tête, à pousser le dossier de l'autre main pour me regarder droit dans les yeux. On aurait dit une mère, qui regarde son fils quand celui-ci lui dit une absurdité, du genre "j'arrête l'école". "Pourquoi tu veux que je défende une fille que tu as fais mettre en prison ?" J'ai soupiré de nouveau. Je détestais qu'on me dise que je l'avais fais mettre en prison. Ce n'était pas vrai. C'est vrai que j'avais été à l'origine de cette enquête, en même temps, j'étais lieutenant de police alors ! Néanmoins, je l'avais toujours pensé innocente. Je n'étais pas le juge, ni les jurés, je n'y étais pour rien dans son emprisonnement. Du moins, c'était beaucoup plus facile de le penser. J'avais déjà suffisamment de mal à dormir la nuit depuis. "Elie, cette fille est innocente. Je le sais depuis le début. La problème c'est que je n'ai pas réussit à le prouver." Ma soeur n'en revenait pas. Je pouvais le voir à sa tête. A en croire la manière dont elle me regardait, elle me prenait pour un fou furieux et risquait même d'appeler la sécurité pour me demander de sortir de son bureau ! "Ne me regarde pas comme ça !" Elle a finit par détourné rapidement le regard avant de se concentrer de nouveau sur moi. "Même si...Enfin si je le voulais, je ne pourrais pas gagner. Tout l'accuse ! Toutes les preuves sont contre elle Noah tu le sais. Tu es bon flic quand même." "Non justement. Il n'y a aucune preuve. Ses empreintes étaient partout sur le lieu du crime, elle y vivait c'est normal. Elle semblait présente à l'heure du crime et alors ?! C'est possible. C'est juste plus facile de l'accuser elle. Dans ce dossier il y a pas de preuves et c'est justement ce qui joue en sa défaveur car le peu qu'il y a l'accuse, c'est vrai mais je sais que si tu le lis, tu trouveras une faille, un truc qui s'est mal passé pendant le procès, n'importe quoi mais fais là sortir de là." A cet instant précis, je me faisais presque un peu peur. D'ailleurs, je crois aussi que je faisais peur à ma soeur. J'avais toujours été quelqu'un de terriblement intègre. Je croyais en la justice et je ne supportais pas l'injustice. Seulement à ce point là...Il y avait autre chose, c'était une évidence. Cette fille me rendait dingue, beaucoup trop. Peut être que finalement c'est quelque chose qui altérait mon jugement. Je n'en savais rien mais je voulais qu'elle sorte. C'était presque devenue vitale. Ma soeur n'était pas stupide. Elle me connaissait trop bien pour que je lui cache certaines choses. "Noah..Ecoute..." Je lui ai coupé la parole. Cette phrase commençait mal. "Tu ne veux pas m'aider c'est ça ?! Tu ne veux pas aider ton petit frère parce que tes honoraires sont trop élevés et que tu n'acceptes pas de faire quelque chose gratuitement ?! Il y a donc que l'argent qui t'intéresse maintenant ?!" Elie était bouche bée. Jamais, je ne m'étais montré aussi virullant avec elle. Pourtant, elle avait parfois le don de me taper sur le système mais en général, je faisais preuve de cynisme. J'étais doué en la matière et ça passait généralement un peu mieux. Cette fois, je me montrais impulsif. On avait presque l'impression de voir Luke. "Oh Noah stop d'accord ! Ca n'a rien à voir avec l'argent ou je ne sais quoi. Et je n'ai pas dis que je disais non...C'est juste que..." Elle s'est levée de derrière son bureau pour s'approcher doucement de moi. "Je ne sais pas trop pourquoi tu me demande ça. Je sais que tu es quelqu'un de juste et d'intègre mais est ce que c'est vraiment ton intégrité qui te fait réagir comme ça ? Ou est ce qu'il y a autre chose ?" Elle me connaissait définitivement beaucoup trop. J'ai baissé la tête et je me suis finalement radoucit avant de redresser la tête vers elle. "Il n'y a rien entre elle et moi. Mais...Il y a quelque chose chez elle qui me...Je veux l'aider Elie et j'ai réellement besoin de toi. Et s'il te plais, ne lui dis pas que tu es ma soeur. Fais toi passer pour un avocat commit d'office." Cette fois Elie a laissé échapper un rire franc et sincère. Elle m'a ensuite regardé avec une tendresse indescriptible. J'aimais quand elle me regardait comme ça. Je lui reprochais souvent de prendre le rôle de maman avec nous mais j'avais terriblement besoin qu'elle continue de le faire. J'étais souvent qu'un enfant avec Elie. J'avais ce besoin qu'elle veille sur moi. "Avoir gagné des dizaines de procès, gagner des milliers et devoir se faire passer pour un avocat commit d'office. Je te déteste mais c'est d'accord Noah." Elle avait dit cela avec un tendre sourire. Je me suis alors approché d'elle et elle a ouvert ses bras, comme lorsque nous étions enfants. "Je t'aime Noah, fais juste attention à ce que tu fais d'accord ?!" Je n'ai pas répondu. J'étais bien, appuyé contre elle et ça me suffisait.



PSEUDO/PRÉNOM   ♗ Maeva ÂGE   ♗  24 ans PAYS   ♗  FRANCE DISPONIBILITÉ  ♗  5 jours sur 7 L'HISTOIRE DE COMMENT AS-TU DÉCOUVERT LE FORUM ?   ♗  Sur bazzart  UNE PETITE ANECDOTE A TON SUJET  ♗ J'écris parfois un peu trop... Embarassed  JE SUIS   ♗  un scénario {*} un inventé {}  AVATAR CHOISI  ♗  Joseph Gordon Levitt  CRÉDIT   ♗  Bazzart

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Dernière édition par Noah Everson le Ven 10 Jan - 16:15, édité 11 fois
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MessageSujet: Re: Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. EmptyMar 7 Jan - 22:52

BIENVENUE SUR LE FORUM I love youI love you
Encore merci de tenter mon scénario et si tu as la moindre question, n'hésite pas à me harceler de mps.  34 34  Bon courage pour ta fiche, j'ai hâte de lire tout ça.  18 
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MessageSujet: Re: Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. EmptyMer 8 Jan - 6:27

JGL  I love you 06 I love you 

Bienvenue sur le forum !
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Simon Collins

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MessageSujet: Re: Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. EmptyMer 8 Jan - 8:38

Joseph est un excellent choix 29 en plus très bon choix de scénario I love you
bienvenue parmi nous  39 33 
bon courage pour ta fiche I love you
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MessageSujet: Re: Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. EmptyMer 8 Jan - 10:38

Bienvenuuuuuue :3
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Caitlin Dennis

Caitlin Dennis
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MessageSujet: Re: Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. EmptyMer 8 Jan - 17:15

Très bon choix de scénario  tongue 
BIENVENUE PARMI NOUS bunny love2 7896 1483
Merci pour ton inscription et bonne chance huuuuug ange dragueur lovers
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MessageSujet: Re: Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. EmptyMer 8 Jan - 17:18

Merci à tous. I love you
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MessageSujet: Re: Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. EmptyVen 10 Jan - 18:00

Ta fiche est juste parfaite. J'suis amoureuse et j'ai plus que hâte de jouer avec toi  06 06 I love you 
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MessageSujet: Re: Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. EmptyVen 10 Jan - 18:36

Ah je n'avais pas vu.  Embarassed Et bien écoute, je suis ravie qu'elle te plaise. J'ai aussi hâte de jouer avec toi.  03 
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MessageSujet: Re: Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. EmptyVen 10 Jan - 19:42

Superbe fiche  18 
Bienvenue chez les AFRAID TO DIE ALONE  8956 
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MessageSujet: Re: Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. EmptyVen 10 Jan - 21:37

Merci beaucoup.  03 
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MessageSujet: Re: Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. Le jour où nous cesserons d’aider notre prochain, à ce moment nous aurons perdu notre humanité. Empty

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