Sarah-May Heminway
maybe teach me how to fly
SON PTIT SURNOM ♗ sarouuh, blondie, miss catastrophe, sarah tout simplement. SON ÂGE ♗ vingt-trois ans. SON ORIENTATION SEXUELLE ♗ hétérosexuelle. SON STATUT CIVIL ♗ briseuse de couple actuellement entre célibataire et en couple ou plutôt l'inverse. SA NATIONALITÉ ♗ anglaise. SON CARACTÈRE ♗ souriante, possessive, sociable, caractérielle, douce, lunatique, à l'écoute, impulsive, généreuse, fragile, bordélique, maligne, passionnée. parfois prétentieuse et hautaine, grande gueule, vulgaire, franche. en fait, elle réagit différemment en fonction de son humeur et des gens qu'elle côtoie. SA PROFESSION ♗ étudiante en musique dans le but d'ouvrir sa propre maison de disques et barmaid pour payer son année.
a toujours été la chouchoute de ses parents ♗ déteste les surnoms ridicules ♗ les premières apparences laissent penser que c'est un vrai petit ange mais lorsqu'on la cherche, c'est une toute autre personne ♗ a toujours été "populaire" malgré elle ♗ ne s'entend pas du tout avec sa soeur mais la défend toujours ♗ considère ses amis comme une seconde famille ♗ regarde des disney tous les dimanche ♗ adore tenter de nouvelles expériences ♗ est passionnée de musique depuis toute petite ♗ joue de la guitare, de la batterie et du piano mais préfère par dessus tout le chant ♗ n'a pas peur des insectes mais bel et bien des ascenseurs ♗ est végétarienne et adore les animaux ♗ a un chien qu'elle considère comme son bébé ♗ ne supporte pas les films d'horreur ♗ au fond, c'est encore une enfant qui se cherche ♗ parle couramment anglais, français, russe, italien et portugais ♗ fait beaucoup d'erreurs mais les reconnait toujours ♗ aime les m&m's et les smarties plus que tout au monde ♗ n'a toujours pas son permis car c'est un vrai danger publique sur la route ♗ aime voyager ♗ croit en ses rêves durent comme fer ♗ tous les ans, elle fait une liste des choses qu'elle doit faire dans l'année ♗ quand elle était petite, elle voulait être hôtesse de l'air
T’as grandi dans une famille aux revenus moyens. Ta mère était hôtesse de l’air et donc que peu présente à la maison, tandis que ton père était garagiste à son propre compte. T’as toujours vécu à Winchester et du plus loin que tu t’en souviennes, tu n’as jamais aimé cette ville plus que ça. Non toi, tu voulais vivre en France également, voir du pays mais, même à l’époque, tu savais que rien ni personne ne pourrait te faire changer d’avis, tu n’allais pas moisir ici. Arrêtant de manger, tu posais délicatement tes couverts le loin de ton assiette avant de prendre la parole, le sourire aux lèvres :
« M’man, plus tard, je voudrais être comme toi. » Ce n’était pas faux mais, pas entièrement vrai non plus. Tu ne voulais pas faire de sourires hypocrites aux passagers de nombreux vols, tu ne pouvais pas jouer les potiches or, voyager à travers le monde, ça, ça te tentait et ce, quel que soit le métier que tu choisirais.
« Petite chouchoute ! » Grogna ta sœur à laquelle tu administras un coup de pied. Votre père vous adressa un regard froid et toutes deux, baissiez la tête honteusement. Jamais vous n’aviez eu peur de vos parents seulement, vous leur portiez du respect, vous aviez des valeurs et encore aujourd’hui cela est vrai.
« Et je suis sûre que tu y arriveras ma chérie ! » Te dis ta mère en guise de réponse tout en caressant ta joue du revers de sa main. Ta mère n’avait pas tort, t’avais toujours tout fait pour que tes parents soient fiers de toi ou du moins, t’avais essayé et la moindre de tes erreurs était considéré comme un accident de passage. Ce n’était jamais ta faute du point de vue de mes paternels. Tu n’étais pas parfaite, la perfection n’existait pas et pourtant, à leurs yeux, c’était toi. D’après tout, Isaline ne t’avait jamais aimé, encore aujourd’hui, elle faisait tout pour te rabaisser, te prouver que tu avais tort et que non, tu ne valais pas mieux qu’une petite fourmi sur cette terre. Tu avais toujours pris cela pour de la provocation sans penser méchant, tu ne te doutais pas que l’attention que te portait le monde entier pouvait blesser ta sœur. Non, jamais tu n’as vu de la jalousie dans ses yeux. Toi tout que tu essayais de faire, même si ce n’était pas toujours évident à voir, c’était qu’elle soit fière de toi. C’est vrai, c’était ton modèle, ton seul modèle sur terre.
Tu étais partie aux Etats-Unis durant les vacances d’été, à Chicago plus précisément. Durant ses deux mois, tu avais appelé ta sœur tous les jours parce que même si vous vous ne supportiez pas toutes les deux, vivre l’une sans l’autre, c’était beaucoup trop dur. Vous aviez eu quelques disputes mais la plupart du temps, vous vous racontiez vos journées respectives, rien de plus normal. Tu devais rentrer le lendemain or, tu avais préféré faire la surprise du coup, tu pris un taxi de l’aéroport à la demeure familiale. Malheureusement, tes parents n’étaient pas encore là du coup, tu avais tout le loisir de passer du temps avec sa chère sœur.
« Comment ça va avec Nich ? » Demandas-tu curieusement. Isaline arrêta de travail à la chaîne que vous êtiez en train d’accomplir. Toi tu repliais, elle, elle rangeait. Elle te foudroya du regard en de répondant sèchement :
« Comme si tu t’en souciais. » Tu haussais les épaules d’un air innocent, ne comprenant pas trop où elle voulait en venir. C’est vrai que tu n’étais pas toujours un petit ange or, tu t’étais toujours intéressée à sa vie sentimentale, encore plus depuis qu’elle sortait avec ton meilleur ami.
« C’est mon meilleur ami Isa et t’es ma sœur… » Soupiras-tu désespérément. Elle avait le don de rendre les choses simples on ne peut plus compliquées.
« Sarah ? » Tu te retournas et découvris tes parents. Un large sourire se dessina sur ton visage alors que tu leur sautais dans les bras.
« Maman ! Papa ! Vous m’avez trop manqué ! »« Sarah, ouvre cette putain de porte ou j’la défonce. » Tu savais très bien qu’il était capable de le faire, qu’il allait le faire même mais, tu t’en foutais. Tout ça n’avait aucun sens, aucune importance. Ta vie semblait parfaite et pourtant, tu n’étais pas heureuse. Tu détestais cette image qu’on montrait de toi. Tu détestais le fait de ne pas t’entendre avec ta sœur et ta vie sentimentale était catastrophique. T’avais l’impression d’être un jouet aux yeux des hommes et pourtant, tu tombais dans le panneau à chaque fois telle une petite chose fragile. Le grand amour, c’était ce qui te faisait rêver. Pour combler le tout, tu venais de perdre ta meilleure amie et ça, c’était de ta faute. Tu venais de passer un mois dans le coma suite à cet accident de voiture survenu le jour de fête de Darren, son petit ami. Tu t’en étais sortie et pas elle, t’aurais dû l’empêcher de prendre le volant après avoir ingurgité autant d’alcool. T’appuyant sur le rebord de la baignoire, tu te laissais traîner jusqu’à la porte et déverrouilla celle-ci avant de revenir à tes occupations. Tu nettoyais cette foutue lame de rasoir encore et encore lorsqu’un bruit sourd te fit sursauter. Nicholas venait de se rendre compte que la porte était ouverte et qu’il y avait donc aucune raison pour qu’il s’énerve de la sorte.
« Montre-moi ça ! » Il attrapa ton poignet après avoir fermé la porte derrière lui, t’obligeant à lui faire face alors qu’une grimace se dessina sur tes lèvres. Tu soupirais désespérément en te retirant de son emprise.
« Laisse-moi tranquille Nich ! J’vais bien ! » C’était ton meilleur ami, tu le connaissais depuis toujours. Il lisait en toi comme dans un livre ouvert, tu ne pouvais rien lui cacher et il ne pouvait rien te cacher également. C’est d’ailleurs toi qui avais tout fait pour qu’il sorte avec ta sœur. Ce fut le vrai coup de foudre entre eux deux, sauf qu’aucun ne voulait faire le premier pas, c’était donc toi qui avait tout organisé. Une nouvelle fois il s’empara de ton avant-bras et cette fois-ci, tu te contentas de t’asseoir et d’attendre qu’il termine.
« Comme d’habitude hein mais ça, ça Sarah, ça prouve le contraire ! » Et comme d’habitude tu avais droit à une leçon de morale. Tu levais les yeux au ciel alors qu’il désinfectait les plaies que tu venais de te faire volontairement. Il avait découvert ton petit secret quelques jours après ton retour à la maison. Il avait promis qu’il garderait le secret alors que tu lui avais promis d’arrêter ça sauf que c’était plus dur à dire qu’à faire.
« Aïe, tu me fais mal grosse brute ! » Tu fronçais les sourcils et lui lançais un regard noir alors qu’il se mit à rire.
« Arrêtes de faire la meuf ! » Alors que ton rire se mêlait au sien, il banda ton poignet avant que tu redescendes tes manches et reparte à table comme si de rien était.
On t’a toujours prise pour une sainte, un modèle à suivre. C’est vrai que quand on te voit dans les couloirs du lycée, le sourire aux lèvres, marchant avec tant d’assurance, saluant des connaissances et des amis à droite et à gauche et pourtant sachant se mêler à la foule avec facilité, ça fait rêver. Tes notes sont excellentes, t’es bien entourée bref, que demandez de mieux ?
« Sarah, Sarah, t’as vu le nouveau, il est trop trop mignon ! » Elle te prend par le bras et t’entraînes dans les couloirs après que tu es fermée ton casier. Ton regard se pose sur le nouveau, l’Australien qui est arrivé en début de semaine suite à la mutation de son père.
« Mouais… C’est vrai qu’il est pas trop mal… Mais c’est pas mon genre ! » Tu hausses les épaules avant de fixer de nouveau le jeune homme du regard. Grand, blond, surement un surfeur bref, le mec typique qui vient du pays des kangourous quoi. Elle se racle la gorge et plonge ses yeux dans les tiens.
« Je crois que Sharon a posé le grappin dessus… » Sharon ? Ta pire ennemie. C’est vrai, cette fille c’est juste le diable incarné. Drague tout ce qui bouge, s’habille comme si elle allait faire le trottoir, superficielle comme pas deux. T’as toujours détesté ce genre de filles, t’es pour le naturel et c’est d’ailleurs pour ça que tu t’es présentée aux élections de délégués de classes, que t’as intégré les chealeaders et que tu as décidé de présider les bals de promos. Oui, cette fille, tu veux la détruire, la faire redescendre sur terre et pour ça, t’es prête à tout.
« Ok, j’le veux. » Rectifias-tu avant de rire en chœur avec ton amie. Comme quoi derrière ce visage d’ange se cache une vraie garce, déterminer comme jamais.
Et t’es partie à Paris. Pourquoi ? Parce que cette ville te fait rêver. Parce que t’as toujours voulu vivre là-bas et parce que tu avais besoin de faire le point sur ce que tu voulais, ce que tu souhaitais faire. T’es partie sans rien dire à personne et bien sûr, cela a créé des tensions avant même que tu sois rentrée.
« Sarah ? C’est Isaline. Dis, ça serait cool que tu me rappelles à l’occasion parce que je m’inquiète et les parents aussi… Je t’en prie, rappelle ! » Tu t’enfonces dans ton lit d’hôtel et soupires. Tu essayes de te mettre à leur place. C’est vrai que t’aurais pété un câble, que tu serais devenue folles mais, c’est plus fort que toi, t’as besoin d’espace, t’as besoin de te retrouver seule durant de quelques jours, quelques semaines. Ces derniers jours ont sans aucun doute étaient les meilleurs de ta vie. Tu as appris énormément de choses, tu as amélioré ton français et tu as réussi à écrire de nouvelles chansons, chose qui n’était pas arrivé depuis un bout de temps.
« Sarah ? Réponds-tout de suite ! Je sais que t’es là ! Réponds ! » Ok, ok, le fait que ce téléphone sonne continuellement jour après jour, ça commence à te stresser du coup :
« Arrêtes de gueuler Nich ! Je vais bien, je vais vraiment bien et j’te jure que j’ai arrêté. Je suis en train de revivre petit à petit. Ne le dit à personne sinon… Sinon tu détruirais tout ce que je viens de reconstruire. » Oui, t’avais craqué et t’as craqué au point de lui dire où tu te trouvais et le pire dans tout ça, c’est qu’il t’a rejoint. Il t’a appris qu’à ton départ, Isaline a changé, beaucoup changé et qu’une chose en entrainant une autre, ils se sont séparés. T’avais du mal à le croire et puis… Ce séjour vous a rapproché l’un de l’autre. Tu as compris que finalement, tu le considérais plus que comme ton meilleur ami et lui, il a compris qu’en plus d’être cette petite fille fragile qu’il devait protéger quoi qu’il arrive, tu étais une femme, une femme qu’on pouvait véritablement aimer.
Mais comme on dit, toute bonne chose a une fin.
« J’suis bien ici. J’ai plus envie de partir. » Tu te cales contre lui alors qu’il passe un bras autour de tes épaules, déposant ses lèvres contre les tiennes pour t’offrir un baiser comme jamais encore tu n’en avais reçu. Tu savais parfaitement qu’il devait rentrer, il avait pris une semaine de vacances pour pouvoir te rejoindre ici et toi, toi aussi il fallait que tu rentres parce que tu avais tes cours et ton job. Certes, il te restait deux semaines mais tout de même, ce ne serait pas pareil sans lui, pas après la semaine qu’il venait de t’offrir. Collant son font au tien, il t’adressait un sourire auquel tu ne pus que répondre.
« J’ai passé la plus belle semaine de toute ma vie. » Oh oui toi aussi ! Jamais encore tu n’avais vécu cela. Dans un sens, c’était pas plus mal car cette petite virée aura bien des conséquences. Nicholas est reparti en Angleterre et toi, toi tu t’apprêtes à rentrer. Vous n’avez pas parlé de vous, vous ne savez pas ce que vous êtes l’un pour l’autre parce que oui, vous avez des sentiments mais, il y a Isaline et si Isa apprend la nouvelle, c’est sûr qu’elle va être furieuse. Même plus encore car tu viens d’apprendre que tu es enceinte. Et oui, à Paris, on fait des folies et en rentrant à Winchester, il va falloir assumer tout ça. Il va falloir que tu parles à ton meilleur ami, que vous mettiez les choses au clair et puis, il va falloir que tu donnes une explication à ta famille bref, la galère ! Autant dire que t’aurais jamais dû rentrer à la maison…
PSEUDO/PRÉNOM ♗ hersunshine/charline. ÂGE ♗ dix-huit ans. PAYS ♗ france. DISPONIBILITÉ ♗ pour le moment tout le temps après, ça dépend de mes notes j'ai envie de dire. L'HISTOIRE DE COMMENT AS-TU DÉCOUVERT LE FORUM ? ♗ par lisouuuuuuu d'amour. UNE PETITE ANECDOTE A TON SUJET ♗ quand j'étais p'tite j'ai cassé le bras d'mon frère en voulant lui faire l'avion... JE SUIS ♗ un scénario {} un inventé {x} AVATAR CHOISI ♗ dianna agron. CRÉDIT ♗ diannafans.