Freddie | I'm a big pain in your ass

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Frederick "Freddie" Withemore

When I was a kid my parents moved a lot, but I always found them.

© crédit ici
Full Disclosure

SON PTIT SURNOM ♗ Fred, Assh*le, Bitch, Fredo... Il signe toujours ses articles du pseudo Frimore, une contraction de son prénom et de son nom de famille. SON ÂGE ♗ 31 années d'improvisation. Son frère aime dire qu'il a 31 ans d'emmerdes sur le papier et 10 ans d'âge mental. SON ORIENTATION SEXUELLE ♗ Hétérosexuel mais ouvert. SON STATUT CIVIL ♗ célibataire compulsif. SA NATIONALITÉ ♗ Gallois. SA PROFESSION ♗ Journaliste, une plaie pour la police, une source d'information pour la population. Il tient un blog aussi.

DISCRET ♧ OBSERVATEUR ♧ BAVARD ♧ FATIGUANT ♧ DROLE ♧ SURPRENANT

Il est atteint d'hypermnésie, un véritable avantage pour retenir des informations mais une terrible torture pour les migraines que ça provoque ♗ Est toujours là où on l'attend le moins ♗ Dis toujours ce qu'il pense, qu'on le lui ait demandé ou non ♗ Est allergique à l'arachide, au lactose et à une sainte horreur du flan ♗ Adore manger du pain chaud ♗ Est un adepte de l'humour noir ♗ Met son nez partout, absolument partout ♗ S'il ne se rase pas la plupart du temps c'est plus par fainéantise que par amour du style ♗ Aime les femmes qui pleurent sans gène en public, allez savoir pourquoi ♗ N'est pas un grand fan des bébés ♗ Tente constamment de soutirer des informations à son frère, qui travaille pour la police scientifique, ou à des agents ♗ A déjà été arrêté pour trouble de l'ordre ♗ Adore les chats et les hamsters, même si la cohabitation entre les trois animaux - oui, fred en est un - est parfois difficile ♗ A constamment des tâches d'encre, de stylo ou d'imprimante, sur les doigts

behind the curtain

PSEUDO/PRÉNOM ♗ Flop. ÂGE ♗ 23 ans. PAYS ♗ Poneyland ? DISPONIBILITÉ ♗ Dispo. L'HISTOIRE DE COMMENT AS-TU DÉCOUVERT LE FORUM ? ♗ Bazzart je crois. UNE PETITE ANECDOTE A TON SUJET ♗ J'ai vomi après le petit train de la mine de DisneyLand.. JE SUIS ♗ un scénario {} un inventé {X} AVATAR CHOISI ♗ Ben Whishaw. CRÉDIT ♗ Pingu & Tumblr.

Code:: <t>BEN WHISHAW</t> ♗ freddie withemore

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Je suis pas sûr d’avoir tout bien saisi, accoudé à la table de la cuisine, Freddie regardait à tour de rôle son frère Samuel, son père puis sa mère, en essayant d’aligner correctement la masse d’informations qu’on venait de lui refourguer. A ses côtés, Sam avait l’air lui aussi d’essayer de saisir l’essentiel de ce qui s’était dit. Attendez.. Papa va aller vivre dans un appartement dans le centre de Winchester.. il tourna la tête vers Freddie qui acquiesça et reprit à son tour mais c’est pas parce que vous vous aimez plus, c’est plutôt parce que .. Maman a découvert qu’elle aimait les femmes.. Comme ça ? D’un coup ? Et c’était là que ça coinçait un peu au niveau de leur compréhension, pas que ça les dérangeait mais disons que de toutes les nouvelles c’était sans doute celle à laquelle ils s’attendait le moins. Après tout c’était pas tout les jours que votre mère vous annonçait ce genre de choses, il leur fallait donc un léger temps de latence pour mâcher la nouvelle et la digérer. Mais euh.. Concrètement.. Du coup, si j’ai une question par rapport aux relation avec les filles.. Je vais plutôt voir m’man ou papa? Et comme Samuel éclatait de rire à sa propre blague, Freddie le suivit dans un fou rire à s’en faire pleurer, collant son front sur la table alors que les parents se dévisageaient d’un air un peu consterné. Fallait dire que les frères Withemore n’étaient pas franchement connu pour leur sérieux, ou leur réaction logique face aux événements de la vie; la preuve la plus tangible restait l’enterrement de leur grand-père maternel auquel ils avaient quand même fait une bataille de bombe à eau en plein milieu du jardin familiale pendant le repas. Ca n’avait pas forcément plu à tout le monde, quand bien même ils n’avaient que six et sept ans à l’époque. C’est très sérieux les garçons. Il faut qu’on en parle parce qu’il y a des gens à l’extérieur qui ne comprendront pas forcément et vous pourriez vous.. ils pourraient vous embêter au lycée, ils relevèrent la tête vers leur mère en souriant d’un même mouvement; elle était toujours très stressée pour un tas de choses, sans doute avait-elle ses raisons, et c’était surement ce qui les touchait le plus. Je pense pas qu’on nous emmerdera. J’veux dire.. J’passe inaperçu, ma technique du caméléon fonctionne très bien et puis Sam est co-capitaine de l’équipe de foot. J’pense qu’on va gérer, non? Au pire, vu tes compétences en chimie on peut toujours fabriquer quelques petites potions.. et déjà ils partaient dans un plan stupide, arrêtés par leur père qui, se pinçant l’arrête du nez, finit par les ramener à la raison en leur donnant des cartes avec des rendez-vous notés avec un psychiatre. Les garçons, pour être sûr que tout va bien, vous irez voir cet homme, c’est un ami, et déjà les deux adolescents se regardaient en souriant d’un air complice. Certainement qu’ils voyaient en cette nouvelle situation familiale une excuse supplémentaire pour se faire moins passer un savon à leur prochaine connerie. Même si la semaine d’après Freddie fut quand même expulsé pendant une semaine pour avoir vidé les boites des souris depuis la fenêtre du labo de science - pour sa défense il les croyait encore en vie et il aurait jamais cru que des élèves traineraient sous la fenêtre à cet instant - et Sam fut puni tout les samedis matins pendant deux semaines pour s’être battu avec un joueur de l’équipe qui s’était moqué de sa mère.

Elle est chouette la soirée non, elle se trémoussait légèrement en rythme, jouant avec une mèche de ses cheveux blonds, buvant de petites gorgées de son verre en plastique pendant que Freddie avalait une gorgée de bière, appuyé contre le mur. Il ne savait pas vraiment ce qu’il faisait à cette soirée, surement que Samuel avait encore réussi à l’y traîner à grands renforts de compromis merdiques auxquels il avait cédé parce que de toute manière dès que son frère lui donnait l’autorisation de lui pourrir l’existence pendant une semaine non-stop, il fonçait tête baissée. C’était pas inhabituel de le voir à ce genre de soirées, principalement parce que c’était son frère qui l’y faisait inviter, mais il faisait un peu tâche. C’était Sam le cool kid, lui il était le weirdo. Et sinon, ça va comment? Il avait baissé les yeux vers elle, pour souffler dans le goulot de sa bière, l’air pensif avant de faire une grimace et de hausser les épaules, oh j’dirais que ça roule aussi bien que tout adolescent de seize ans qui vient d’apprendre que sa mère s'installe dans peu de temps avec une femme qu'elle fréquente en cachette depuis trois ans, ou comme celui qui a fait une crise d'allergie aux cacahuètes en plein milieu du réfectoire hier. Par contre si tu parlais niveau santé je dirais qu’à part une petite migraine qui arrive parce que je sais vraiment pas boire la bière sans avoir une légère gueule de bois après, tout va bien et toi? Excepté que le temps qu’il finisse son baratin, la demoiselle était partie, remplacée par son frère, d’un an son aîné, qui posait sa main sur son épaule en riant comme un idiot. J’ai une putain d’idée pour la fête d’anniversaire de maman.. On devrait faire une mise en scène et se déguiser comme les mecs dans Priscilla Folle du Désert ! Tournant légèrement la tête vers son frère, Freddie pointa l’index sur lui, bière toujours en main, ouvrit la bouche avant de la refermer pour la rouvrir, un air consterné ou fasciné sur le visage. C’est l’idée la plus débile que t’aies eu depuis l’accident de la peau de banane de Tante Emily mais j’y adhère complètement, et ils trinquèrent comme deux idiots avant qu’un plaisantin ne s’amuse à insulter leur mère. C’était devenu fréquent depuis que l’homosexualité de l’ex-madame Withemore avait été rendu public dans tout Winchester, ou quelques quartiers parce que c’était pas non plus une célébrité - malgré tout ses efforts pour faire parler d’elle en rejoignant diverses associations -, et comme chaque fois Samuel perdait son calme et se jetait sur l’idiot. Soupir aux lèvres, Freddie laissa sa bière dans la main d’un des joueurs de foot du lycée non sans un tiens moi ça, j’ai un nez à me faire péter pour aller soutenir inutilement mon frère, merci, garde la fraîche, que je puisse la coller sur mon hypothétique coquard, pour finalement se jeter dans la mêlée. Et comme toujours, ils finissaient tout les deux assis sur le trottoir à essayer de remettre leur veste sur le dos, un peu amoché, un peu soul mais surtout mort de rire. Des ânes. Et dire que ça s’améliorait pas avec l’âge.

Pas de fanfare ? Pas de ballons animaux ? Pas de pompoms girls à peine majeur ? Pas de klaxon ? T’aurais mieux fait de pas venir du tout m’attendre à l’aéroport ça m’aurait fait le même effet, elle levait les yeux au ciel en soupirant avant de se jeter à son coup, souriant. Tu n’es parti que quatre mois, c’est pas la peine de sortir le grand jeu pour quatre misérables mois, souffla-t-elle en lui tapotant le bout du nez, arrachant un léger cri épouvanté à Freddie qui se recula, l’air faussement outé, du coup pour mes vingt-neuf ans c’pas la peine non plus de faire une fête, autant attendre les trente, c’est ça ? Visiblement épuisée elle soupira encore, comme toujours, replaça ses cheveux derrière ses oreilles et lui attrapa le bras, le laissant porter ses propres sacs. En la regardant il ne put s’empêcher de sourire discrètement, sans trop savoir pourquoi. Surement parce que ça restait rare de voir un couple devenir très bons amis après une rupture? Il avait eu de la chance sans doute. Même si peu de gens parvenaient à comprendre leur relation fusionnelle, et ce malgré le fait qu’il n’y avait clairement plus rien d’autres entre eux à part de l’amitié, certains trouvaient ça assez malsain. alors, New York, la grosse pomme tout ça, c’était comment ? Jetant ses valises dans le coffre, il s’arrêta deux secondes avant de claquer des doigts, disons que pour une ville qu’on surnomme d’après un fruit, il coute moins cher d’acheter un hamburger gras qu’une pomme ou une banane. Et leur accent.. Terrible mais quelque part je le trouve plus amusant que celui des canadiens. Elle le regardait en riant, grimpant derrière le volant, sans doute toujours aussi surprise par la fierté avec laquelle il parlait, l’arrogance dont il pouvait faire preuve en parlant des autres. Si elle ne savait pas qu’il venait d’une famille modeste, elle l’aurait surement pris pour un de ces riches aristocrates d’Angleterre, il avait leur manière de parler, leur façon de se comporter, mais le tout s’effaçait très vite quand il se comportait à nouveau comme un gamin. Bon.. Tu vas me parler de lui ou je dois attendre de le rencontrer et de le faire fuir? la jeune femme avait légèrement sursauté avant de le regarder du coin de l’oeil, surprise, me regarde pas comme ça, t’as une trace plus clair au niveau de ton doigt, donc tu voulais pas que je vois qu’il t’a offert une bague. Et elle finissait par lui raconter. Ca ne le dérangeait pas tant que ça, il n’était pas connu pour être très jaloux, voire même il ne l’avait jamais été en réalité dans toutes ses relations, mais quelque part savoir qu’elle allait se marier à quelqu’un et déménager avec le rendait triste. Mais la fierté avant tout.

Et tu t’en fou? Samuel sortait deux bières du frigo en revenant s’asseoir près de son frère sur le canapé, un match se déroulant à la télé, qu’aucun des deux ne suivait réellement. T’es con ou tu le fais exprès? Je sais pas à quel moment j’ai raté ton éducation avec les femmes, je savais qu’on aurait plutôt du demander de l’aide à maman, il donna un coup de coude dans les côtes de son cadet en riant, trinquant avec lui avant de s’affaler un peu plus. Non mais de toute façon, quand on était ensemble on était terriblement mal assorti, ça arrive. J’irais lui présenter mes voeux et je la laisserais filer. Et sinon, t’es sûr que ça t’ennuie pas que je reste chez toi quelques semaines, le temps que je me trouve un nouvel appart’? pour toute réponse Samuel lui tapota l’épaule et d’un même mouvement les frères Withemore croisèrent les jambes sur la table basse. Samuel regarda son frère du coin de l’oeil, ça faisait des années qu’il essayait de se convaincre que Freddie était normal mais il réagissait toujours de manière si étrange qu’il avait fini par abandonner l’idée. Tout comme il avait cessé de laisser trainer ses affaires partout dans son appartement, parce que le journaliste mettait son nez partout et finissait toujours par trouver des trucs intéressants pour ses articles. C’était épuisant d’être l’aîné de Freddie. Et dis donc..Faut te trouver un costume pour le mariage de p’pa, il riait déjà à l’idée de l’union de leur quinquagénaire de géniteur et de sa minette à peine plus âgée qu’eux, ils auraient choisi le 1er Avril pour leur mariage que ça n’aurait pas été aussi drôle. J’pensais réutiliser celui de l’enterrement de mamie.. Le noir ça va pour tout il paraît, ils pouffèrent comme des gamins avant de regarder la télé en se gavant de chips, mimant les scènes qui défilaient sous leurs yeux.

WITHEMORE!! DANS MON BUREAU!! l’intéressé sursauta avachi sur sa chaise et les pieds sur son bureau, il commençait à s’endormir à relire des rapports inintéressants et à faire des comptes-rendus. Il jongla avec son crayon le temps de calmer ses tremblements et rejoignit le bureau en arquant un sourcil, glissant le bout de bois taillé derrière son oreille. Si c’est pour m’accuser de quelque chose, je vous jure que c’est pas moi et que je trouverais forcément un alibi, et donc ça ne mènera à rien autant retourner à nos travaux respectifs. Si c’est pour la promotion dont j’ai parlé la semaine dernière, en revanche, je suis tout ouïe, et comme l’homme lui faisait signe de s’asseoir, il obéit, sourire du dandy sur les lèvres. Tu voulais autre chose que les potins et les faits divers ? joignant ses mains, Freddie l’observa, cherchant à remarquer ce qui était différent chez son patron, ce que ne manqua pas de remarquer l’homme face à lui grimaçant du même coup. Il détestait ça, mais seulement pour la forme. Loin de moi l’idée de dire que la disparition du chat de la voisine du boulanger c’est pas fascinant, mais si ledit chat était un braqueur de banque récidiviste et un criminel dangereux, ça ajouterait du piment, on est bien d’accord! et il finit par sourire à moitié, y avait un truc dans l’attitude de son patron qui lui plaisait; il allait lui donner un gros morceau, un truc bien, un truc fait pour lui. Un truc sanglant, un truc complexe. Samuel avait peut être raison, Freddie devait avoir un côté malsain. On a découvert un corps, et le journaliste s’était redressé sur sa chaise, visiblement intéressé par ce que le chef était en train de lui lancer. Je te veux sur le coup. Trouve moi ce qu’on nous dit pas, t’as jusqu’à la fin de semaine pour me pondre un truc.. Freddie s’était redressé d’un bond, sourire aux lèvres, pouce levé et avait rejoint son bureau pour récupérer sa veste et un de ses nombreux calepins. Enfin de l’action.

Il en aurait rêvé que ça n’aurait jamais été mieux que ce qu’il se passait; Winchester aux mains d’un tueur. Le titre, écrit en majuscule, recouvrait une grande partie de la première page du journal, et il souriait fier de lui. Ils avaient mis du temps à le trouver, mais maintenant qu’il le voyait écrit sur le papier il était content de son choix. Clope à la main, fumée qui s’échappait ses narines, Freddie fit tomber la cendre dans un verre près de lui, le regard figé sur le papier qu’il tenait. Il l’avait enfin sa promotion, malgré ce qu’il avait fallu faire pour en arriver là, quand bien même il venait de se faire pas mal d’ennemis au sein de la police et les membres de famille des victimes. Certes deux ou trois personnes du cercle privée avaient apprécié son article, parce que si à voix haute Freddie se retenait rarement de dire ce qu’il pensait, à l’écrit c’était la même; il osait même écrire en majuscule ce que tout le monde osait à peine penser à voix basse au fond de leur crâne. C’était dire. Pas qu’il se prenait pour le défenseur de la vérité, il avait clairement du profit à se faire, mais il faisait parti de ces gens sachant pertinemment qu’il n’y avait que la vérité pour faire trembler les gens; et si la police s’acharnait à lui mettre des barons dans les roues, c’était surement parce que le journaliste touchait du doigt ce qui posait problème. Ils n’avançaient pas vraiment dans leur enquête, et rien que ça c’était du pain béni pour lui. Bon bha.. Je vais y aller, il releva à peine la tête vers la jeune femme qui remettait ses bottes. Elle travaillait au même niveau que la morgue, et lui avait servi quelques informations bien croustillantes, même s’il se moquait un peu de savoir que le légiste mettait deux sucres dans son café le matin. Il trouvait du palpitant dans les détails les moins impressionnants. A plus tard? Tenta-t-elle à nouveau d’attirer son attention, récoltant un simple signe de main. Freddie n’était clairement pas agréable, surtout quand il travaillait.

C’EST QUOI ÇA? Encore concentré sur son écran, Freddie ignora l’énergumène qui hurlait dans tout le local avant de s’approcher de son bureau pour déposer, avec une violence à en faire trembler les genoux de Ghandi, le journal du jour, l’index tapant à intervalles réguliers sur un article précis. Glissant ses lunettes sur son nez, Freddie observa le papier d’un air faussement princier avant de retirer la monture et jouer avec les branches pour se chatouiller le menton. Un article de journal. C’est-à-dire un texte d’informations, basées sur un événement présent, ou bien passé avec une influence sur le jour d’aujourd’hui, dans lequel on relate des infirmations plus ou moins importantes sur— l’homme tendit l’index à quelques millimètres du visage de Freddie qui loucha en le regardant, avant de repousser sa main de la sienne, se redressant pour s’approcher de la machine à café. Je te propose un thé, t’as l’air déjà assez tendu comme ça pour de la caféine, grand sourire, il manqua de renverser sa tasse quand l’homme se planta à nouveau devant lui, l’air menaçant, ce qui n’effraya pas plus que ça le journaliste. Après tout, il avait grandi avec le scientifique, il connaissait bien sa façon d’agir et se doutait qu’il ne le frapperait pas, du moins pas en public parce qu’il se souvenait encore très bien des raclées qu’il lui mettait en privé quand Freddie l’avait ridiculisé devant l’école, quand ils étaient enfants. Je te parle de ce que tu as écris espèce d’abruti ! Tu te rends compte que je risque ma place avec tes conneries ! T’avais promis d’arrêter de fourrer ton nez partout bordel ! Et comment t’as eu ces informations ?! observant son frère aîné, Freddie soupira en roulant les yeux, une gentille assistante du laboratoire qui ne demandait qu’un peu d’attention..Tu vois, si tu regardais un peu plus tes collègues ça n’arriverait jam… Ok ok arrête.. Ca va.. Je m’excuse.. Jeez, mais tire un coup si t’es aussi nerveux.. Et il l’avait pas vu venir celle-là; la main de son frère se colla directement sur son nez, lui cognant légèrement l’arrière du crâne contre le mur derrière. Plaquant ses mains sur son nez d’où s’échappait un léger filet de sang, il grimaça alors que l’aîné Withemore soupirait en lui attrapant doucement les cheveux pour l’obliger à pencher la tête en arrière, le trainant à sa chaise pour qu’il s’assied et lui colla un mouchoir sur la narine. T’es vraiment con aussi, s’excusa maladroitement l’homme, arrachant un haussement d’épaules à son cadet, en même temps j’fais mon boulot hein. T’es vraiment tendu c’est incroyable. Oh! Ca a un rapport avec le nouveau corps c’est ça, le troisième si j’me trompe pas? Et il s’attelait déjà à récupérer son carnet et son stylo pour gribouiller, alors que son frère lui arrachait le tout des mains, lâchant quelques jurons avant de lever les mains au ciel et de disparaître par la porte. Que voulez-vous, chassez le naturel il revient au galop. C’était pas pour rien si Freddie était le meilleur dans son domaine, et pas uniquement parce que son frère travaillait dans la police scientifique et que son appartement, dont il avait un double secret des clés - ne posez pas de questions, il y a certaines choses sur Fred qu’il vaut mieux ignorer -, était une mine d’or pour des informations complémentaires. Autant il pouvait être d’une véritable aide pour la police, autant depuis le corps trouvé il était une véritable plaie à fouiller partout, à pondre des articles qui mettaient plus dans l’embarras qu’il ne rendait service. Et la pression des agents, ainsi que des patrons sur son frère, ne changeaient pas grand chose.

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Bienvenuuuuue ton personnage m'a l'air génial. Tu es sûr de recevoir une demande de lien de ma part .

bienvenue sur le forum
bon courage pour la suite de ta fiche
merci de ton inscription

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Comme l'a dit Maggie, ton personnage à l'air super ! Je serai là aussi pour un lien ^^
Bienvenue en tout cas et bon courage pour la suite de ta fiche I love you